Jouer sur la peinture

Il est tout à fait possible d’apporter du style à votre deux-roues avec de la peinture personnalisable. Que ce soit avec une couleur unique ou des combinées de plusieurs coloris, les spécialistes de la carrosserie peuvent réaliser tous les styles de peinture (effet caméléon, effet nacré, effet chromé, etc.). Pour les plus extravagants, il est même possible de réaliser des portraits à l’aérographe sur la carrosserie ou sur le casque. Personnaliser la peinture de votre engin peut coûter assez cher, donc pour éviter les surprises, pensez à demander un devis.

Miser sur des kits déco sur mesure

Si vous ne disposez pas de budget conséquent pour une peinture personnalisée, vous pouvez opter pour les stickers 100% personnalisés. L’avantage avec le kit déco, c’est qu’il est facile à appliquer, abordable, personnalisable à l’infini et ne nécessite aucune habileté. Des spécialistes peuvent assurer la conception unique de vos kits de décoration suivant le modèle de votre deux-roues (routier, duals sports, cruisers, etc.) et vous donnez des instructions pour la mise en place et le montage des kits.

Opter pour une personnalisation de la plaque

Tout véhicule deux-roues (motos ou scooter) circulant sur les routes doit disposer d’une plaque d’immatriculation sous peine d’immobilisation ou d’amende. Vous pouvez alors équiper votre engin d’une plaque homologuée et personnalisée, mais de manière discrète (modifier la police des caractères ou ajouter un texte sous l’immatriculation).

Si vous participez à des compétitions, personnaliser le fond de plaque de votre 2 roues vous permettra aussi de vous identifier parmi les autres concurrents. À titre d’exemple, vous pouvez choisir un numéro, sélectionner une couleur de fond, changer de police d’écriture ou encore écrire votre nom sur la plaque.

Si vous utilisez seulement votre moto dans des cadres fermés, vous pouvez personnaliser votre plaque d’immatriculation comme bon vous semble.

Opter pour des éléments et des accessoires originaux

Vous avez la possibilité d’équiper votre véhicule avec diverses pièces exceptionnelles afin de le customiser (opter pour des clignotants de coloris différent, changer les poignées de frein, installer des rétroviseurs stylés, changer de selle, etc.).

Outre la personnalisation esthétique, vous pouvez également effectuer des personnalisations techniques pour améliorer la performance de votre moto. Il s’agit en principe d’apporter des modifications au niveau du moteur (Installation de filtre pour booster votre engin, remplacer la ligne d’échappement, etc.) ou des pièces pour alléger la moto.

Bon à savoir avant de personnaliser votre moto

Vous devez savoir que toutes les transformations que vous apporterez à votre engin doivent rester dans les normes de la sécurité routière. Des accessoires obligatoires, de l’assurance moto, aux vêtements et équipements pour un passager enfant, tout doit être conforme aux règles de la sécurité routière.

Moto électrique : pourquoi la choisir ?

Si les géants de la moto tels que Harley Davidson ou KTM se sont lancés dans la fabrication de motos électriques, c’est qu’on peut être sûr de la fiabilité de ce type de moto. L’avantage principal des motos électriques c’est qu’elles ont été construites afin de limiter au maximum l’émanation de particules nocives dans l’air. Elles sont donc plus respectueuses de l’environnement. De plus, elles sont beaucoup plus silencieuses que les modèles thermiques. Ce qui contribue à limiter la pollution sonore dans les grandes villes. En outre, le confort et la simplicité de conduite sont optimisés. En prenant le guidon d’une moto électrique, vous n’avez pas besoin de passer la vitesse ni de manipuler un embrayage.

Quelle moto électrique choisir ?

Sachez que la moto électrique est généralement conçue pour un usage urbain. Cela est dû à son autonomie, ainsi qu’à l’accessibilité réduite des sources de courant pour recharger la batterie de la moto sur les routes nationales ou secondaires. Avant de faire le choix de la moto électrique, vous devez évaluer le trajet que vous allez faire avec la moto au quotidien. Considérez également les types de routes que vous allez emprunter et surtout ceux que vous allez prendre le plus souvent. Bien sûr, il faut considérer votre budget, le gabarit du véhicule que vous souhaitez monter, sa puissance ainsi que les options qui l’accompagnent.

L’alimentation et l’entretien de la moto

Pour recharger la batterie de votre moto électrique, plusieurs possibilités peuvent être choisies. Vous pouvez la brancher directement sur une prise chez vous, en utilisant un câble spécifique. Il existe également des stations de recharge dédiées aux véhicules de ce genre. Elles sont d’ailleurs de plus en plus nombreuses en France. Concernant l’entretien, la moto électrique n’exige ni vidange ni changement de filtres. De ce fait, le coût d’entretien est quasiment nul. Comme sur n’importe quel type de véhicule motorisé, vous devez toutefois remplacer les pièces défaillantes ou usées.

Les règles en vigueur

Généralement, la loi qui régit les motos thermiques est la même que celles fonctionnant avec des batteries. Pour un véhicule qui possède une puissance maximale de 11 kW, un permis A1 peut suffire. Cependant, si votre permis A1 date d’avant 1980, vous êtes obligé de vous soumettre à une formation de 7 heures pour être autorisé à conduire une moto légère. L’utilisation d’un deux roues électrique de plus de 11 kW nécessite l’obtention du permis A2. Un permis A est demandé si la moto dépasse la puissance de 35 kW.

Un modèle de moto électrique agréable à conduire

Le marché propose aujourd’hui une multitude de marques de motos électriques. Il est important d’opter pour une marque fiable. Si vous souhaitez avoir de la puissance, le modèle Zero SR de la marque Zero Motorcycles a un excellent rapport qualité/prix. Cette moto de Zero Motorcycles peut atteindre 163 km/h alors qu’il suffit de posséder un permis A2 pour le conduire (puissance inférieure à 35 kW). Son autonomie n’en est pas moindre puisqu’elle peut atteindre les 288 km en ville et 145 km minimum lorsque la batterie est fortement sollicitée.

Déterminez votre budget

Avant tout, il est important de savoir jusqu’à quelle somme vous êtes prêt à dépenser. C’est en fonction de ce facteur que vous pouvez soit élargir, soit restreindre vos recherches. Pour trouver le produit qui correspond à vos besoins, le plus sage est de se référer directement auprès d’un concessionnaire, ou d’un revendeur agréé, car cela vous permettra d’avoir une garantie sur sa qualité.

Soyez attentifs aux détails

Lorsque vous avez sélectionné le deux-roues qui semble vous convenir, ne soyez pas pressés d’aller à la caisse et de signer les papiers. Faites d’abord un essai pour évaluer sa taille et ses sensations de conduite. Vérifiez également si le siège est confortable, si les freins fonctionnent parfaitement, et s’il y a suffisamment d’espace pour stocker vos affaires en dessous. Enfin, et non des moindres, sélectionnez le scooter en fonction du type de moteur (2 temps ou 4 temps), et de la cylindrée (50 cm³, 100 cm³, 125 cm³, etc.) qui déterminera sa performance.

Vérifiez la consommation

En ces temps difficiles, il est plus qu’important de choisir un véhicule par rapport à sa consommation de carburant. Ce ne sera pas toujours évident, étant donné que les scooters à faible consommation sont ceux qui sont dotés d’un petit moteur. Dans tous les cas, l’acquisition d’un deux-roues est toujours intéressante dans la mesure où il consomme moins qu’une voiture ordinaire sur un même trajet.

Se doter d’un équipement complet

Pour assurer votre confort et votre sécurité, vous devez disposer d’un équipement conforme aux normes imposés par les autorités : une paire de gants renforcés, un blouson doté de mousse de protection et d’une dorsale résistante, un gilet (jaune) de secours, des chaussures moto, etc.

Vérifiez votre moto

Demandez-vous si votre moto est assez puissante pour rouler pendant des heures. A-t-elle besoin d’une révision ? Est-elle en bon état ? Ensuite, faites une liste de toutes les stations d’essence, vérifiez la météo et aussi étudiez scrupuleusement l’état des routes. Bien avant le départ, assurez-vous qu’il n’y a pas d’équipement à ajouter, que les roues sont en excellent état, qu’elles n’ont pas besoin d’être gonflées, etc. Si vous constatez que votre moto ne tiendra pas la route, le mieux, c’est de même louer un modèle qui serait plus adapté et plus costaud. Puis, définissez votre destination et choisissez un jour où il fait beau, où il ne pleut pas pour prendre la route.

Quoi emmener sur votre moto ?

Si vous êtes un motard expérimenté, vous devez sûrement avoir une idée de ce qu’il vous faut pour un bon voyage en moto, l’essentiel étant : un casque, des coudières et des genouillères, un blouson, un GPS, etc. Si vous êtes débutant, surtout, ne partez pas seul. Si vous comptez voyager à plusieurs, vous pouvez vous partager les bagages en les disposant dans des valises ou des top-cases. En tout cas, ayez des outils pour de menues réparations en cours de route. N’oubliez surtout pas d’emmener de quoi vous hydrater sur la route et faites des pauses de temps en temps.

Les papiers

Avant d’acheter une moto, vous devez d’abord vérifier sa carte grise et voir si les numéros consignés sur le moteur et le cadre correspondent bien à ceux inscrits sur la carte. Dans le cas où il s’agit d’une voiture d’occasion dont le moteur a déjà été changé, vous devez réclamer une facture pour voir le numéro de série du moteur en question, ainsi que ses références. S’il s’agit d’une moto presque neuve, il est aussi recommandé de demander un carnet d’entretien pour avoir de la garantie sur l’état de l’engin.

L’état de la moto en général

C’est évident, avant d’acheter une moto, vous devez toujours vérifier son état en général. Rien ne doit vous échapper. Ne soyez pas seulement distrait par l’état externe de l’engin, vous devez aussi examiner son intérieur. Vous devez notamment examiner les traces suspectes sur chaque coin de la moto, ainsi que les clignotants, les guidons, les rétroviseurs, etc. Si vous avez des doutes, n’hésitez pas à réclamer au vendeur des factures d’entretien. Vérifiez également le kilométrage de l’engin. Assurez-vous que le kilométrage moyen parcouru n’a pas soudainement baissé entre la période de fin de garantie et de vente de l’engin. Il est très courant de voir des vendeurs qui modifient le kilométrage de leur moto pour pouvoir la vendre rapidement. Par ailleurs, vous devez contrôler les pneus et leurs sculptures. Vérifiez qu’ils sont encore en bon état, ainsi que la bande de roulement située à l’arrière. Puis, n’oubliez pas non plus d’observer les échappements, leur qualité et voir s’ils ont déjà été remplacés ou victime de corrosion.

Les autres vérifications à faire

À part toutes ces vérifications à faire mentionnées en haut, vous devez également contrôler les niveaux de liquide de frein, d’huile et de liquide de refroidissement avant d’acheter une moto. Examinez bien les éléments de batterie s’ils ont déjà été refaits. Vous devez également mesurer le dispositif de freinage, contrôler la transmission, ainsi que le passage des vitesses. Enfin, vous devez absolument essayer l’engin avant de l’acheter. Cela vous permettra d’avoir une idée de son état en général, de voir s’il est bien confortable et s’il vous convient à merveille. L’essai vous permettra également de remarquer les dysfonctionnements imperceptibles à l’oeil et de vérifier certains éléments comme l’allumage. Après tout cela, vous pouvez bien négocier le prix de la machine avec le vendeur.

Sacoche aimantée ou avec tapis

Une sacoche réservoir peut utiliser deux systèmes de fixations différentes : les aimants et le tapis. Une sacoche à aimant dispose de plusieurs aimants placés sur sa face inférieure. Les aimants doivent être puissants, nombreux et correctement répartis afin de garantir la fixation de la sacoche sur le réservoir. Une sacoche à tapis, quant à elle, est fixée à un tapis placé sur le réservoir. Vous aurez cependant besoin d’utiliser un tapis spécifique pour votre moto BMW.

Sacoche avec ou sans compartiments

Les sacoches réservoir pour BMW sont disponibles dans des volumes variés. Si vous n’avez besoin que d’un rangement pour vos papiers et cartes, optez pour une sacoche de petite taille. Pour transporter plus d’affaires, le marché propose des sacoches pouvant atteindre un volume de 35 litres. D’autres modèles de sacs ont aussi un volume qui peut être ajusté selon vos besoins.
Vous pouvez choisir une sacoche réservoir pour votre BMW avec ou sans compartiments. Sachez cependant que certains sacs avec compartiments peuvent s’empiler jusqu’à 4 fois.

Sacoche à multiples fonctions

Les portes-cartes sont très pratiques lorsque vous faites un long voyage. Ce type d’accessoire peut coûter 30 €. C’est le prix minimal pour une sacoche de réservoir qui pourtant, peut être équipée d’un porte-carte. Si vous n’avez besoin que du minimum, autant opter pour une sacoche plutôt qu’un simple porte-carte. Par ailleurs, il existe des sacoches de réservoir qui peuvent être converties en sac à dos ou en sac de transport pour casque. Ce type de sacoche peut être pratique si vous effectuez de longs trajets à moto ou une randonnée à pied.

Les licences

Dans la plupart des pays, notamment en France, pour pouvoir faire du karting, les pratiquants doivent obligatoirement posséder une licence. Cette licence permet d’accéder à un circuit et de pratiquer, aussi bien pour le loisir ou pour participer à des compétitions.
Dans le cas de la France, pour obtenir une licence, le pratiquant doit déposer une demande auprès du club de karting de son choix. Et c’est le club qui va ensuite soumettre la demande auprès des institutions compétentes, à savoir la Fédération Française du Sport Automobile (FFSA) ou bien l’Union Française des Œuvres Laïques d’Education Physique (UFOLEP). La demande doit être accompagnée d’un certificat médical et d’une autorisation parentale pour les mineurs.
Il faut aussi savoir que cette licence à un coût qui diffère selon la fédération, l’âge du pratiquant ou encore le type de licence (loisir ou compétition). Ce coût est de 120 ou 200 euros chez FFSA et de 50 ou 80 euros chez UFOLEP.

L’équipement à avoir

Il est impossible de pratiquer le karting sans un certain nombre d’équipements, qui sont d’ailleurs obligatoires. Parmi ces équipements obligatoires, on trouve le casque, la combinaison, la minerve, les gants et les bottes. Le gilet protège côtes n’est pas obligatoire, par contre, il est vivement conseillé d’en porter un pour plus de sécurité.
Aussi, il faut s’assurer que ces équipements soient homologués et acceptés dans le club, sinon il sera impossible d’accéder aux circuits et de profiter des activités proposées.

Le choix du karting

Outre l’équipement obligatoire, pour pouvoir faire du karting, il faut bien évidemment posséder un kart. Pour choisir son kart, il faut prendre en compte certains paramètres.
D’abord, les différents modèles de kart sont regroupés en deux catégories. Il y a les karts avec boîte de vitesses et sans boîte de vitesses. Quand on débute, le mieux c’est d’opter pour la deuxième catégorie qui possède des modèles plus faciles à maitriser.
Ensuite, pour ce qui est du châssis, le choix du modèle a très peu d’influence sur la puissance ou la maniabilité du véhicule. Le pratiquant est donc libre de choisir le modèle qui lui plait.
Côté moteur par contre, le choix du modèle va avoir une très grande incidence sur la puissance et par la même occasion, sur la maniabilité de l’engin. Pour débuter, l’idéal est de prendre un moteur qui ne nécessite aucun réglage ou très peu et qui possède tout au plus 30Cv de puissance. Au-delà, le kart serait beaucoup trop difficile à conduire pour un débutant.