Déterminez votre budget

Avant tout, il est important de savoir jusqu’à quelle somme vous êtes prêt à dépenser. C’est en fonction de ce facteur que vous pouvez soit élargir, soit restreindre vos recherches. Pour trouver le produit qui correspond à vos besoins, le plus sage est de se référer directement auprès d’un concessionnaire, ou d’un revendeur agréé, car cela vous permettra d’avoir une garantie sur sa qualité.

Soyez attentifs aux détails

Lorsque vous avez sélectionné le deux-roues qui semble vous convenir, ne soyez pas pressés d’aller à la caisse et de signer les papiers. Faites d’abord un essai pour évaluer sa taille et ses sensations de conduite. Vérifiez également si le siège est confortable, si les freins fonctionnent parfaitement, et s’il y a suffisamment d’espace pour stocker vos affaires en dessous. Enfin, et non des moindres, sélectionnez le scooter en fonction du type de moteur (2 temps ou 4 temps), et de la cylindrée (50 cm³, 100 cm³, 125 cm³, etc.) qui déterminera sa performance.

Vérifiez la consommation

En ces temps difficiles, il est plus qu’important de choisir un véhicule par rapport à sa consommation de carburant. Ce ne sera pas toujours évident, étant donné que les scooters à faible consommation sont ceux qui sont dotés d’un petit moteur. Dans tous les cas, l’acquisition d’un deux-roues est toujours intéressante dans la mesure où il consomme moins qu’une voiture ordinaire sur un même trajet.

Se doter d’un équipement complet

Pour assurer votre confort et votre sécurité, vous devez disposer d’un équipement conforme aux normes imposés par les autorités : une paire de gants renforcés, un blouson doté de mousse de protection et d’une dorsale résistante, un gilet (jaune) de secours, des chaussures moto, etc.

Zoom sur le stage de pilotage

Conduire des voitures sportives nécessite de la technique et une parfaite maîtrise du volant. Pour connaître les secrets du pilotage automobile, il est recommandé de faire un stage de pilotage. Durant cet apprentissage, le moniteur enseigne plusieurs techniques, dont l’anticipation et la projection du regard. Il apprend au pilote à regarder là où il doit se rendre sans cligner des yeux, surtout lorsqu’il fait un grand virage ou une chicane. Chaque geste est déterminant pour visionner la trajectoire de pilotage.

Le talon-pointe est une autre technique enseignée durant un stage de pilotage auto. Il consiste à freiner, tout en donnant un coup d’accélérateur rapide lors du rétrogradage. La pratique est assez difficile, surtout pour les débutants. Une fausse manipulation peut entraîner le blocage de la boîte de vitesse. Ce phénomène peut engendrer une perte de contrôle ou d’adhérence de la voiture.

Durant le stage de pilotage auto, le coach apprend au pilote à gérer les situations stressantes et les imprévus sur la piste. Il lui rappelle qu’une erreur peut entraîner des conséquences assez catastrophiques.

Avant le stage, le moniteur procède à un briefing du pilote. Il lui rappelle les règles de sécurité à suivre, explique les risques sur la piste et donne un aperçu du fonctionnement du véhicule en fonction du modèle.

Les circuits qui procurent des sensations fortes

La France compte de nombreux circuits qui permettent de rouler à grande vitesse et qui procurent des sensations fortes. En voici quelques-uns :

– Le circuit de Dijon-Prenois : Il se trouve à proximité de Dijon, en Bourgogne-Franche-Comté. Ce circuit s’étend sur 3 801 mètres et a déjà reçu 5 Grands Prix de France de la Formule 1.

– Le circuit d’Albi : Conçu en 1959, il est situé en Occitanie. Sa longueur est de 3 565 mètres. Il est constitué de 9 virages avec un tracé plat.

– Le circuit de Magny-Cours : Il se trouve en Bourgogne-Franche-Comté. Ce domaine de 350 hectares renferme trois tracés, dont le Grand Prix, le Club et le Karting.

Les pistes historiques

Si vous êtes moins adeptes des sensations fortes, optez pour les pistes historiques telles que :

– Le circuit des 24 h du Mans : Plus besoin de le décrire, cette piste est une légende dans le sport automobile. Créée en 1923 pour le Grand Prix automobile de France, elle est située en Pays de la Loire. Elle est dotée d’une longueur de 13 629 mètres.

– Le circuit de Lohéac : Cette piste se trouve en Bretagne.

Des diagnostics plus simples

Autrefois, les personnes moins à l’aise avec la mécanique auto étaient obligées de passer chez un garagiste pour diagnostiquer leurs véhicules. Il fallait dans ce cas se fier uniquement à l’avis du mécanicien et effectuer des visites fréquentes. Avec une valise de diagnostic auto, vous n’avez pas besoin d’être un professionnel pour identifier la panne de votre voiture ou les risques de défaillances. Il vous suffit de brancher l’appareil à votre véhicule et de lancer une analyse. Vous pouvez par conséquent diagnostiquer plus souvent votre voiture pour éviter tous risques de pannes.

Des économies réalisées

En l’absence d’un diagnostic, il vous est impossible de connaître l’état dans lequel votre voiture se trouve. Vous pourriez par conséquent être victime d’une panne à tout moment. Les défauts importants peuvent également passer inaperçus et ne se manifester que lorsqu’ils ont atteint un niveau critique. Ce qui vous obligera à effectuer des réparations plus coûteuses. Avec une valise de diagnostic, vous pouvez effectuer un diagnostic à tout moment et corriger les problèmes du véhicule tant qu’ils ne sont pas encore trop graves.

Un outil pratique

Avec une valise monomarque, vous ne pouvez utiliser la valise que sur une marque de voiture. Mais une valise de diagnostic peut aussi être multimarque. Cela signifie qu’elle peut éventuellement fonctionner sur différentes marques et différents modèles de voitures. Vous pouvez donc investir dans une valise multimarque et continuer à l’utiliser même si vous devez changer de véhicule. L’investissement ne sera d’ailleurs pas trop coûteux puisqu’une valise de bonne qualité coûte entre 50 et 100 €.

Comment vous servir d’un voltmètre ?

Un voltmètre est un outil qu’il faut posséder pour tester votre alternateur. Il ne coûte qu’une vingtaine d’euros environ et vous pouvez en trouver dans tous les magasins de pièces automobiles. En premier, démarrez votre voiture et l’alternateur va tourner pour alimenter votre batterie. Vous saurez si le problème ne vient pas de votre batterie, ce qui peut arriver si elle est déjà vieille ou si elle est grippée à cause de l’hiver. En clair, démarrez le moteur, puis, coupez, levez le capot, posez les pointes du voltmètre sur les bornes de la batterie, lisez la mesure indiquée sur le voltmètre. S’il affiche 12 volts, votre batterie est en forme.

Si l’alternateur a un problème

Démarrez à nouveau la voiture et laissez tourner le moteur. Replacez les touches du voltmètre sur la batterie et la mesure devrait être dans les 13 volts. En augmentant le régime du moteur, la tension aux bornes devrait monter jusqu’à 14,5 volts. Ces mesures donnent la preuve que l’alternateur fonctionne sans problème. Mais si la tension ne bouge pas ou au contraire, diminue, cela veut dire clairement que l’alternateur est en défaillance. Cependant, il est possible que ce soit une autre pièce qui l’empêche de fonctionner normalement, peut-être un fil, un fusible ou un relais abîmé.

Quel type de permis pour quel bateau ?

Pour pratiquer la navigation, si avec un bateau à moteur de plaisance, le permis bateau de plaisance option côtière est suffisant et peut être passé à l’âge de 16 ans. En ayant un permis hauturier, une navigation sans limites de distance en mer ou en eaux fermées est autorisée mais en passant au préalable un permis de plaisance option côtière. Pour ceux qui possèdent des véhicules nautiques à moteur, ils ont besoin d’avoir un permis bateau côtier et ne peuvent naviguer qu’aux alentours de 11km. Pour les pratiques de navigation fluviale, sur les lacs ou canaux, il est nécessaire d’avoir un permis bateau de plaisance option eaux intérieures.

A quel âge doit-on passer un permis bateau ?

En général, que ce soit un permis bateau de plaisance de toutes options, un permis hauturier ou un permis fluvial, ils peuvent tous être obtenus à partir de 16 ans minimum à quelques exceptions près. Si le bateau dépasse les 20 mètres et sa puissance moteur est de 4.5 kilowatts, le navigateur doit avoir un permis grande plaisance option eaux intérieures qui ne peut être passé qu’à partir de 18ans. En effet, ce type de permis est une extension en suivant une formation pratique de 9 heures. Et pour une pratique de navigation à l’étranger, en plus du permis, il faut avoir toujours sur soi son passeport au cas où il y a contrôle douanier.

Effectuez un nettoyage méthodique de l’enveloppe

L’enveloppe du bateau, c’est la partie extérieure et visible de votre bateau. Elle est composée de la coque et du pont. Le nettoyage de ces deux parties est fortement conseillé, car cette opération permet d’éviter l’accumulation de dépôts sur votre navire. Ce nettoyage doit se faire avec des produits spécifiques.

Réparez trop tôt et non pas lorsqu’il est trop tard

Il vaut toujours mieux prévenir que guérir, quitte à dépenser « inutilement » de l’argent. Si vous repérez un élément défectueux, remplacez-le, même s’il ne présente pas de risques réels pour votre navire. Attendre que les dégâts se soient répandus à d’autres pièces ou à l’ensemble du bateau avant de faire une rénovation complète est ce qu’il ne faut jamais faire. En plus de vous faire perdre du temps, cela vous coûtera beaucoup plus cher que de remplacer une pièce légèrement abîmée.

Réviser le moteur

La vérification du moteur est une étape très importante dans l’entretien de son bateau. Vous pouvez vous-même procéder à cette si vous avez quelques notions en mécanique. Dans le cas contraire, l’idéal est de faire appel à un professionnel pour effectuer un diagnostic, mais aussi pour procéder aux éventuelles réparations.
Que faut-il faire exactement ? La révision, la vidange, le remplacement des pièces usagées, surtout des joints se trouvant dans le moteur, l’entretien du circuit de refroidissement, du thermostat, du filtre à air, etc.

La cote de l’Argus du bateau, le meilleur outil

Magazine qui n’est plus à présenter pour les fans des bateaux de plaisance, l’Argus du bateau offre dans ses pages une méthode d’évaluation précise en utilisant des cotations. A chaque bateau est donné un prix argus qui correspond au prix d’un bateau neuf, en bon état et sans les diverses options. Ajoutez ensuite le prix des éléments suivants en tenant compte pour certains de la décote : l’équipement, l’électronique, les voiles (pour les voiliers), l’annexe, les moteurs, la remorque, les bonus, les frais de préparation, la place de port (si le bateau est vendu avec celle-ci). Les cotations de l’argus donnent une valeur de tous ces éléments en fonction de leur année d’achat. Le total obtenu sera le prix de vente de votre bateau. Si c’est trop compliqué pour vous, le calcul peut être fait gratuitement sur internet.

Pour les vieux bateaux

La valeur des bateaux baisse significativement avec le temps. C’est la raison pour laquelle les vieux bateaux se vendent plus difficilement. Il est par conséquent d’autant plus nécessaire de les vendre au bon prix. La cote de l’Argus ne vous servira pas à grand-chose quand un bateau a au-delà de dix ans d’âge. En effet, dans le calcul du prix, il faut tenir compte des frais de réparation. Il peut même arriver que le prix d’un moteur dépasse le prix du bateau. On ne saura que trop recommander de procéder à une expertise ou de consulter l’avis d’un professionnel.